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APESAC

Aider les familles victimes de la Dépakine et autres antiépileptiques dans la prise en charge de leur maladie et leur demande de réparation
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Marine Martin

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8 rue ramon saguardia - 66450 Pollestres

L’APESAC crée en 2011 par Marine Martin, mère épileptique, lanceuse d’alerte du scandale, découvre que le handicap de ses deux enfants est lié à la prise de Dépakine (commercialisé par SANOFI) pendant ses grossesses. Elle fonde l’association et décide d’informer les mères dans la même situation qu’elle.

En 2015 elle fait modifier les conditions de prescription de ce médicament au niveau européen, rend obligatoire les pictogramme sur les boites de médicaments dit « tératogènes » c’est à dire dangereux pour le fÅ“tus. La Dépakine provoque en effet dans 30 à 40 % des cas des troubles neurocomportementaux comme des troubles du spectre autistique, des troubles dys, des troubles d’apprentissages, des troubles de l’attention, une déficience intellectuelle et dans 11% des cas des malformations graves du cÅ“ur, des reins, des organes génitaux, de la colonne vertébrale.

Aujourd’hui l’APESAC, association reconnue d’intérêt général, regroupe plus de 8000 victimes, tout antiépileptique confondu.

Les dons permettent de continuer d’accompagner les familles victimes dans les démarches judiciaires, administratives, médicales, mais aussi de leur apporter un soutien psychologique.

Les dons nous permettent aussi :
– Diffuser l’information et en toute transparence pour qu’un maximum de femmes soient correctement informées des dangers des antiépileptiques
– Organiser des rassemblements afin de réunir les familles dans un moment convivial et chaleureux
– Publier des études co-écrites avec des médecins internationaux afin de faire reconnaitre l’impact transgénérationnel de la Dépakine ; enfants de 2eme génération qui peuvent aussi être atteints à leur tour. Un travail de pharmacovigilance est actuellement en cours afin de déclarer les cas touchés
– Améliorer l’indemnisation des victimes de la Dépakine